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Histoire de Povoa do Concelho
de Trancoso et des Celtes. |
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Monde | Povoa do Concelho de Trancoso | |||
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Version Française, plus bas... É uma das mais importantes zonas arqueológicas da civilização castreja na Península Ibérica. Surgiu por volta do século
I a.C. e ocupa uma área de cerca de numa colina integrada numa zona de montanhas de afloramentos graníticos, num local
estratégico entre a região do Douro e do Minho. A Citânia estava protegida por várias linhas de muralhas. As muralhas defensivas adaptam-se de forma notável
ao terreno, com uma planificação regular e arruamentos ortogonais. O edifício destinado aos banhos públicos destaca-se, do conjunto arqueológico da Citânia, pela sua técnica e
por possuir a “Pedra Formosa da Citânia de Sanfins”. “Dizem que alguns dos povos das margens do rio Douro vivem à maneira dos Lacónio. Untam-se com óleo duas vezes (por dia) em lugares especiais e tomam banhos de vapor,
feito com pedras aquecidas pelo fogo e (depois) banham-se em água fria.” A Citânia possui mais de cento e cinquenta construções de planta circular e rectangular, agrupadas em cerca de
quarenta conjuntos de unidades familiares. Recentemente foi restaurado um
núcleo familiar. “No dia a dia bebem cerveja e, raramente, vinho. O pouco que conseguem, depressa o consomem nas festas familiares... nesses banquetes sentam-se em bancos construídos ao redor dos muros, ocupando os lugares segundo a idade e a dignidade. A comida
circula de mão dando saltos no ar e caindo de joelhos...” | ||||
C’est une des plus importantes zones archéologiques de la civilisation castro dans la péninsule ibérique. Elle est apparue au premier siècle avant J.-C. et occupe une
superficie d'environ sur une colline dans une zone de montagnes de
granit affleurements, entre le Douro et le Minho. Récemment, une maison a
été restaurée. réalisés avec des pierres chauffées par le feu et après baignade dans
l'eau froide. La nourriture va de main en main. En buvant,
ils dansent et chantent au son de la flûte et de la trompette, avec des sauts
en l'air et ils retombent sur les genoux. | ||||
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Les Dieux Lusitanien: Lusitanian Trebo-pala
(name of a deity) ‘protector of the dwelling Trebo-Pala: Protecteur du foyer. Iccona, may represent a
Lusitanian equivalent of the Gaulish horse-goddess Epona Iccona, | ||||
Les femmes héritent de la maison et de la terre. Les femmes s’occupent de la maison et des terres pendant que les hommes étaient engagés dans la guerre. Répartition des rôles caractéristique des sociétés primitives guerrier-éleveurs. Ce mode de vie crée une instabilité croissante et le développement de petits groupes qui se regroupent pour former des armées qui vont faire des razzias dans les territoires ennemies. Ce mode de vie a duré jusqu'à la pleine conquête romaine. C’est l'une des principales préoccupations des Romains, qui ont vu ces groupes comme de simples brigands. C’est comme ça qu’ils voient Viriato et d'autres seigneurs de guerre Celtes. |
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Les Romains décrivent les guerriers Celtes avec ses armes archaïques, avec un petit bouclier rond et concave, des poignards et des lances, comme dans les sculptures de guerriers Lusitaniens. Les chefs de guerre, leaders charismatiques, sont liés avec les autres guerriers par des pactes sacrés. Les chefs, comme Viriato, sont arrivés à mobiliser des milliers d'hommes. Ils pratiquaient les sacrifices humains, la coupe des mains des prisonniers… Ils mangeaient des glands, utilisaient du beurre au lieu de l’huile et buvaient de la bière au lieu du vin. | ||||
Inscription sur une pierre a
Cabeço das Fraguas ( Guarda) Les Celtes n’écrivent pas, donc avec l’arrivée des Carthaginois et des Romains, ils apprennent l’écriture. A Guarda, ils inscrivent donc en lettre Romaine leur préoccupation principale : Les sacrifices aux dieux
pour vaincre, peut être les Romains justement. Pour le Dieu Trebopala, un
mouton. Pour le Dieu Laebo, un porc. Pour la divinité Iccona
Lumineuse, une offrande. Pour la divinité Trebaruna, une brebis d’un an. Pour le Dieu Reva Trebaruna,
un taureau. | ||||
Les fibules étaient surtout destinées à attacher des vêtements, certaines ayant pu jouer un simple rôle de broche décorative. C'est une amélioration par rapport au nœud ou à la simple aiguille moins fiable et qui se perdait plus facilement. Alors que la tête de la fibule était souvent décorée, l'arc ou le corps lui comportait souvent des décorations plus élaborées et dans certaines cultures ces types de décorations pouvaient avoir des références symboliques, elles ont
pu être associées à un rang, une profession ou différencier les femmes mariées
des femmes célibataires, des hommes, des guerriers ou des chefs. ou sur les autels comme offrandes. Les fouilles archéologiques ont permis de retrouver de nombreuses fibules en métal (bronze, argent, or, fer) ou ivoire, dont certaines incrustées de pierres précieuses ou richement ornementées. |
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Un sceptre est le bâton ornemental,
tenu par le chef. Chez les Étrusques, les rois et les prêtres de haut rang portaient des sceptres magnifiques, d'or et
minutieusement ornementés. Le sceptre romain est sans doute un héritage des Étrusques. Il est aussi celui d'un général victorieux qui recevait alors le titre d´imperator et était alors un symbole de
délégation de l'autorité. |
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La culture celtique du nord de l’Espagne et du Portugal c'est développée dès le VIIe s. av. J.-C. de façon autonome par
rapport au reste de l’Europe celtique continentale. A laissé une sculpture qui se distingue par sa monumentalité. Les verracos – statues représentant en majorité des taureaux, des sangliers ou des cochons Les statues de
guerriers Des têtes très stylisées qui portent parfois un torque Des statuettes ithyphalliques | ||||
Les statues de guerriers du Portugal, proviennent essentiellement de la région du Minho et un peu du Trás-os-Montes. Elles sont souvent très grandes et représentées debout.
Elles peuvent mesurer jusqu’à Toutes les statues portent au moins un brassard (simple ou à plusieurs ondulations) et/ou un bracelet au poignet. Elles sont armées d’une rondache ou caetra tenue sur le ventre avec la main gauche et un poignard dans la main droite ou accroché à la ceinture. | ||||
L’aire
de répartition des verracos s’oriente
autour des villes de
Zamora, de Ségovie, de Tolède et d’Avila, ainsi qu’au sud de
Les plus anciennes pourraient dater du Ve s. av. J.-C. mais leur production ou leur utilisation aurait continué jusqu’à l’époque romaine. Le groupe des verracos est une manifestation originale de la culture celtique en Ibérie, dans laquelle le taureau a déjà une valeur symbolique forte. | ||||
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