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Les Chevaux Lusitaniens de Povoa do Concelho de Trancoso 
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Monde Povoa do Concelho de Trancoso 

Les plus anciens vestiges archéologiques de chevaux dans la péninsule démontrent l’existence de deux types de chevaux depuis l’origine.

L’un d’eux est le poney ibérique, connu aujourd’hui au Portugal sous le nom de Garrano,
caractéristique des régions montagneuses du nord,
 avec des oreilles et des membres courts et le profil de la tête droit ou concave.
 Ce type de cheval apparaît dans l’art pariétal de la préhistoire dans des grottes telles que celles de La Pasiega et d’Altamira dans le nord de la péninsule. 
LA PASIEGA
Jusque à nos jours le poney ibérique n’a pas connu d’influence majeure d’autres types
 de chevaux parce que il n’a été utilisé que pour la petite agriculture et le transport en montagne.

 Il a été avancé cependant que les chevaux introduits par les Celtes, d’un type semblable au Garrano, pourraient avoir été croisés avec des chevaux locaux.
 
LOS CASARES
De nos jours ce type de cheval se rencontre par exemple au Mont Gerês,
 où les populations de Garranos sont d’une typologie très proche de celle des chevaux dessinés dans les grottes préhistoriques.
COA

Le deuxième type est ce que nous appelons en général dans ces pages le cheval ibérique. 

C’est un cheval plus grand avec un profil de tête convexe. 

Des représentations anciennes de ce cheval se trouvent dans des grottes à La Pileta 

(Malaga, Espagne) datées de 20.000 avant J.-C. 

et à Escoural (Alentejo, Portugal) datées entre 17.000 et 13000 avant J.-C.

Le cheval ibérique primitif se rencontrait dans les plaines du sud de la péninsule. 

Il fut monté à la fin du néolithique et, contrairement au poney ibérique, il fut largement influencé par les habitants de la péninsule au cours des siècles.

LA PILETA
Comparaison de deux chevaux ibériques primitifs :
le poney ibérique – appelé aujourd’hui Garrano;
et le cheval ibérique primitif dont descente le cheval lusitanien
LUSITANIENS

Depuis les débuts de la colonisation néolithique de la péninsule ibérique,

la population des chevaux ibériques a reçu plusieurs influences.

A l’âge du fer, la péninsule fut envahie par les Celtes qui amenèrent avec eux des chevaux de petite taille mais très résistants qui se croisèrent principalement avec les poneys indigènes.

 Après un certain temps les Celtes et les Ibères devinrent une seule population dans certaines parties de la péninsule et leurs chevaux également se cotisèrent pour donner un cheval de stature moyenne.

Toujours à l’âge du fer les Phéniciens, les Grecs, les Carthaginois et les Romains arrivèrent dans la péninsule ibérique. 

Les deux premiers ne vinrent pas avec suffisamment de chevaux pour influencer sensiblement le cheval ibérique. 

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CAVALIER CELTE

Cependant une légende grecque attribue au vent la paternité des chevaux de ‘Lusitânia’ sur les bords du Tage.  

C’est certainement une métaphore poétique reflétant la réputation de rapidité de ces chevaux dans l’antiquité

MONAIE DE CARTHAGE
Les Carthaginois et les Romains apportèrent en particulier le cheval berbère. 

Cela se voit à plusieurs statues et pièces de monnaies de ces civilisations représentant des chevaux à profil de tête convexe et aux mouvements hauts et arrondis.

MONNAIE ROMAINE

Après les Romains, des peuples du centre et du nord de l’Europe,

Vandales, Alains et Suèves, se partagèrent la péninsule ibérique. 

Les deux premiers apportèrent des chevaux apparentés aux ancêtres des races germaniques de chevaux lourds ou de trait. 

Les Suèves qui avaient pris le contrôle de la plus grande partie de la péninsule apportèrent des chevaux du même type que ceux des Celtes.

Les Suèves furent ensuite vaincus par les Wisigoths qui eux aussi apportèrent des chevaux lourds ancêtres des races germaniques.

Les Arabes suivirent les Wisigoths dans la péninsule et apportèrent des chevaux bèrbères et arabes qui se croisèrent également avec le cheval ibérique local.

LUSITANIEN

Au douzième siècle, les chevaux jouaient un rôle majeur au combat de deux manières:

-la "Gineta", le cavalier lançant une javeline avant de se retourner ou de continuer le combat au corps-à-corps avec épée ou lance et bouclier.

Le cheval devait être rapide et agile mais pas nécessairement très grand.

-la "Brida", introduite par les combattants du nord de l’Europe,

le cavalier revêtant une armure lourde et épaisse et armé d’une longue lance 

et utilisant la force de frappe liée à la masse du cheval, 

ce qui rendait souhaitable d’avoir de grands chevaux.

Plus tard encore, l’apparition des armes à feu rendit à nouveau nécessaire 

de disposer de chevaux rapides et agiles.

LA GINETA

Le roi João V (marié à Marie d’Autriche et grand admirateur de l’école espagnole d’équitation à Vienne) créa un haras à Alter Real 

où un cheval répondant aux critères de la race lusitanienne est élevé depuis 1748.

Les juments et étalons à l’origine du haras de l’Alter Real furent achetés en Espagne. Les étalons du haras de l’Alter Real étaient utilisé à l’école d’art équestre "Picaria Real". 

Le roi João I

 

Le fils du roi João V, le roi José, fit prospérer l’Alter Real et la Picaria Real.

La Picaria Real fut fermée au dix-neuvième siècle avant d’être réouverte au vingtième sous le nom d’Ecole Portugaise d’Art Equestre 

(Escola Portuguesa de Arte Equestre).

Le roi José I

Golega: 

En 1883 le marquis de Pombal donna son soutien aux éleveurs pour qu’ils y exposent leurs chevaux. 

Au fil du temps, le cheval lusitanien devint l’attraction principale de la  Foire autrefois appelé ‘Feira de São Martinho’ et attira vendeurs et acheteurs de chevaux de tout le Portugal.

Après que la réputation du cheval lusitanien se fut étendue à l’étranger, la Foire commença à recevoir des visiteurs d’autres pays.

En 1972, étant donné l’importance de l’événement pour chevaux et éleveurs du Portugal, le nom devint Foire National du Cheval ‘Feira Nacional do Cavalo’. 

Par tradition, le jour le plus important du Foire est le 11 novembre.

GOLEGA
En 1885, Bernardo Lima, dans son livre sur les races de chevaux du Portugal
 utilisa le terme ‘Lusitano’ pour les chevaux nés et élevés au Portugal.
 En 1889 fut créé le Stud-Book du Portugal.
 En 1942, les vétérinaires des haras nationaux du Portugal
décidèrent d’utiliser le nom de ‘Lusitano’ pour les chevaux nés au Portugal
 avec les caractéristiques leur permettant d’être inscrits au Stud-Book du Portugal. L’existence officielle de la race lusitanienne ne remonte qu’à 1967
La France est le deuxième berceau du cheval lusitanien en Europe après le Portugal
 et le troisième élevage au niveau mondial.
Avec plus de 50 éleveurs réunis au sein de l’Association Française du Cheval Lusitanien et plus de 500 naissances par an
En 2000: Les familles de Povoa continuent a avoir des chevaux
Pour  259 Habitants
 > 1 Chez David Falacho
 > 1 Chez Louisa Pena
 > 1  Chez Conde
 > 1  Chez  
 L’équitation dite à la gineta a donné naissance à la tauromachie équestre.
L’équitation tauromachique pratiquée au Portugal depuis l’antiquité.
L’équitation tauromachique étant aussi une équitation savante dont les préceptes sont issus de l’équitation classique du XVIIIème siècle, elle a donc permis également le maintient d’un art du manège appelé « Picaria ». La « Picaria » a été codifiée en 1790 par Manuel Carlos de Andrade, disciple de Marialva. EQUITATION TAUROMACHIQUE

Notons aussi l’existence de pratiques équestres populaires 

telles que l’équitation des campinos, gardiens de taureaux

et les courses de poneys ambleurs dites « corridas de passo travado »

réalisées dans le Nord du Portugal.

26-07-08
III Encontro equestre de Póvoa do Concelho este domingo

São um grupo de 3 jovens, e estão a organizar o Terceiro Encontro Equestre da localidade de Póvoa do Concelho, no concelho de Trancoso.
 Começaram com um encontro mais modesto, mas ao longo das edições têm vindo a melhorar.
David Falacho, um dos membros da organização afirmou à elmo isso mesmo.

Pelo número de convites enviados, a organização espera mais de uma centena de amantes do hipismo.
Segundo David falacho este é uma das maiores iniciativas da freguesia, e este responsável só lamenta a falta de apoio do poder local.
Na expectativa de ter muita gente a participar neste encontro David Falacho convida toda a população a particiapar ,
convicto de que os que marcarem presença não se vão arrepender.

A promessa de um dia de festa, onde a simpatia e o espectáculo vão marcar presença, está então feita, resta-lhe a si, comparecer neste III encontro equestre de povoa do concelho, que se realiza este domingo.
Do Programa faz parte um passeio com todos os cavaleiros inscritos,
uma lamoço convivio, actuação de dois ranchos folclóricos,
 e para os mais bravos e corajosos uma garraiada.

Pratiqué par David Falacho
COURRIDAS




BLOG: Povoa do Concelho - Passeio Equestre